🌿 Alexandra, celle qui fait pousser le soleil

Un portrait écrit à travers mes pensées

Il y a des personnes qui ne suivent pas un chemin : elles en créent un. Alexandra fait partie de ces êtres-là.
Quand je pense à elle, je pense à une femme qui a choisi la vérité plutôt que le confort, la terre plutôt que le bruit, la lumière plutôt que les habitudes. Une Suissesse qui a quitté Lausanne avec, dans le cœur, une idée simple : vivre de manière authentique et transmettre quelque chose de vrai.

Et aujourd’hui, en Andalousie, elle réussit exactement cela.


🌞 Une femme qui a choisi la terre avant le reste

Ce qui me touche chez Alexandra, ce n’est pas seulement son histoire…
C’est la manière dont elle vit.

Elle aurait pu avoir une vie simple, stable, prévisible.
Mais elle a préféré suivre une intuition, cette envie profonde de travailler la terre, de produire elle-même, de comprendre la nature.

Quand je la regarde dans son domaine de 120 hectares, je vois une femme qui ne cherche pas à dompter la terre, mais à vivre avec elle.
Elle sait écouter.
Elle sait attendre.
Elle sait respecter.


🌱 Des oliviers qui racontent sa patience

En 2017, elle plante ses premiers oliviers.
Moi, ce qui me frappe, c’est la patience que ça demande :
attendre 4 à 5 ans avant de voir un vrai fruit.

Mais Alexandra travaille comme ça :
sans précipitation, sans chantage au résultat.
Elle laisse les choses grandir à leur rythme.

Et c’est de cette patience qu’est née Loretta 1888 : une marque qui ne force rien, qui ne trompe personne, qui vit au rythme du soleil.


🏡 Une vie autonome, sincère, simple

Quand je pense à sa ferme, je ne vois pas juste un lieu de production.
Je vois un refuge.
Un endroit où la lumière entre sans permission.

Elle vit avec l’énergie qu’elle produit, boit l’eau de son puits, cuisine les produits de sa terre.
Ce n’est pas un discours marketing : c’est sa réalité.

Et je trouve qu’il y a quelque chose de beau, presque poétique, dans cette autonomie.


🍝 Une marque qui n’a rien à prouver, juste à transmettre

Ce que j’aime dans Loretta 1888, c’est que ça ne cherche pas à être “tendance”.
Ça cherche à être juste.

Les pâtes sont faites à Montellano, près des champs.
L’huile d’olive est pressée par les artisans du village.
Les pois chiches, les olives, tout vient de voisinages, de mains qui connaissent la terre depuis toujours.

Quand j’en parle, je me dis :
Loretta n’est pas une entreprise. C’est un pont entre sa vie et nos assiettes.


🇨🇭 Une Suissesse… mais le cœur entre deux pays

Ce que j’admire, c’est sa capacité à vivre entre l’Andalousie et la Suisse sans perdre ni l’une, ni l’autre.

La Suisse, c’est son ancrage.
L’Andalousie, c’est sa respiration.

Elle importe elle-même, elle distribue elle-même, elle répond aux clients avec cette générosité qui la définit.
Et elle a une équipe, Dominique et Pierre-Alain, qui reflètent cette même chaleur solaire.


✨ Loretta 1888 : un nom, une histoire, une lignée

Loretta, c’était une femme de sa famille.
1888, c’est une année qui porte une mémoire.
Une cuisine italienne, des gestes transmis, un goût du vrai.

Quand je pense au nom “Loretta”, je vois une continuité :
celle d’Alexandra, qui reprend un héritage et le transforme en quelque chose de moderne, honnête, lumineux.


🌞 Ce qu’Alexandra transmet, sans même le dire

À travers elle, je retiens trois choses :

  • La vérité : rien n’est artificiel dans son travail.
  • La cohérence : ce qu’elle vend, elle le vit.
  • La lumière : celle du soleil andalou, mais aussi celle qu’elle porte dans sa manière d’être.

Et quand on goûte ses produits, on sent cette lumière-là.
Ce n’est pas du marketing.
C’est une signature.


🕊️ Ce portrait, c’est ma façon de dire…

Qu’Alexandra n’est pas seulement une agricultrice.
Elle est une passerelle entre la terre, le soleil et les gens.
Une femme qui transforme un rêve en quelque chose qu’on peut tenir dans la main, cuisiner, offrir, partager.

Et je trouve ça rare.
Et précieux.


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